Mais est-ce à dire que les accusations portées par un accusé contre un autre accusé constituent les seuls moyens de preuve pour une éventuelle condamnation de ce dernier ? Absolument pas.
Le procès pénal est assez sérieux pour ne pas qu’un juge se contente d’une simple déclaration d’un accusé contre un autre accusé pour entrer en condamnation, si ces accusations ne sont pas appuyées par des éléments de preuve crédibles et discutés de manière contradictoire par les différentes parties du procès.
Mais au fond, en ce qui concerne le dossier lui-même, tout porte à croire que l’enquête préliminaire et l’instruction préparatoire n’ont pas été à la hauteur. On n’ira pas jusqu’à dire que ces deux phases ont été bâclées. Mais les multiples insuffisances que l’on constate peuvent avoir une partie de leur explication que dans la faiblesse de l’enquête préliminaire et de l’information judiciaire.
C’est pourquoi, le ministère public a encore du travail à faire pour parvenir à convaincre le Tribunal. Ce qu’on a coutume d’appeler depuis plus de dix ans, « les événements du 28 septembre » se sont bel et bien produits. Mais le ministère public devra à un moment donné sortir de sa zone de confort pour apporter la preuve des nombreuses et graves accusations portées contre les accusés comme la loi le lui impose.
Me Mohamed Traoré
Mais est-ce à dire que les accusations portées par un accusé contre un autre accusé constituent les seuls moyens de preuve pour une éventuelle condamnation de ce dernier ? Absolument pas.
Le procès pénal est assez sérieux pour ne pas qu’un juge se contente d’une simple déclaration d’un accusé contre un autre accusé pour entrer en condamnation, si ces accusations ne sont pas appuyées par des éléments de preuve crédibles et discutés de manière contradictoire par les différentes parties du procès.
Mais au fond, en ce qui concerne le dossier lui-même, tout porte à croire que l’enquête préliminaire et l’instruction préparatoire n’ont pas été à la hauteur. On n’ira pas jusqu’à dire que ces deux phases ont été bâclées. Mais les multiples insuffisances que l’on constate peuvent avoir une partie de leur explication que dans la faiblesse de l’enquête préliminaire et de l’information judiciaire.
C’est pourquoi, le ministère public a encore du travail à faire pour parvenir à convaincre le Tribunal. Ce qu’on a coutume d’appeler depuis plus de dix ans, « les événements du 28 septembre » se sont bel et bien produits. Mais le ministère public devra à un moment donné sortir de sa zone de confort pour apporter la preuve des nombreuses et graves accusations portées contre les accusés comme la loi le lui impose.
Me Mohamed Traoré
Mais est-ce à dire que les accusations portées par un accusé contre un autre accusé constituent les seuls moyens de preuve pour une éventuelle condamnation de ce dernier ? Absolument pas.
Le procès pénal est assez sérieux pour ne pas qu’un juge se contente d’une simple déclaration d’un accusé contre un autre accusé pour entrer en condamnation, si ces accusations ne sont pas appuyées par des éléments de preuve crédibles et discutés de manière contradictoire par les différentes parties du procès.
Mais au fond, en ce qui concerne le dossier lui-même, tout porte à croire que l’enquête préliminaire et l’instruction préparatoire n’ont pas été à la hauteur. On n’ira pas jusqu’à dire que ces deux phases ont été bâclées. Mais les multiples insuffisances que l’on constate peuvent avoir une partie de leur explication que dans la faiblesse de l’enquête préliminaire et de l’information judiciaire.
C’est pourquoi, le ministère public a encore du travail à faire pour parvenir à convaincre le Tribunal. Ce qu’on a coutume d’appeler depuis plus de dix ans, « les événements du 28 septembre » se sont bel et bien produits. Mais le ministère public devra à un moment donné sortir de sa zone de confort pour apporter la preuve des nombreuses et graves accusations portées contre les accusés comme la loi le lui impose.
Me Mohamed Traoré
Mais est-ce à dire que les accusations portées par un accusé contre un autre accusé constituent les seuls moyens de preuve pour une éventuelle condamnation de ce dernier ? Absolument pas.
Le procès pénal est assez sérieux pour ne pas qu’un juge se contente d’une simple déclaration d’un accusé contre un autre accusé pour entrer en condamnation, si ces accusations ne sont pas appuyées par des éléments de preuve crédibles et discutés de manière contradictoire par les différentes parties du procès.
Mais au fond, en ce qui concerne le dossier lui-même, tout porte à croire que l’enquête préliminaire et l’instruction préparatoire n’ont pas été à la hauteur. On n’ira pas jusqu’à dire que ces deux phases ont été bâclées. Mais les multiples insuffisances que l’on constate peuvent avoir une partie de leur explication que dans la faiblesse de l’enquête préliminaire et de l’information judiciaire.
C’est pourquoi, le ministère public a encore du travail à faire pour parvenir à convaincre le Tribunal. Ce qu’on a coutume d’appeler depuis plus de dix ans, « les événements du 28 septembre » se sont bel et bien produits. Mais le ministère public devra à un moment donné sortir de sa zone de confort pour apporter la preuve des nombreuses et graves accusations portées contre les accusés comme la loi le lui impose.
Me Mohamed Traoré