Guinée : ‘’il est important de penser à pérenniser nos cultures’’ estime Thierno Yaya Diallo président Tabital Pulaaku Guinée

Après le décès de l’ancien président de la coordination Fulbés et Haali Pular de Guinée et en même temps président de Tabital Pulaaku Guinée, Elhadj Ousmane Fatako Baldé (sans loi), son successeur à la tête de cette institution, à l’occurrence Thierno Yaya Diallo a organisé une conférence de presse ce samedi 08 avril 2023 pour présenter le nouveau bureau exécutif de Tabital pulaaku tout en énumérant les objectifs visés par l’organisation. Pour le nouveau président, il est important de penser à pérenniser nos cultures.
«  le Tabital Pulaaku est une institution qui est internationale qui est apolitique, qui est aussi à  but non lucratif, c’est une organisation qui a été créé sur la base d’un constat. Donc il était important de penser à pérenniser nos cultures. Particulièrement dans le cadre de Tabital Pulaaku, c’était de tenter de pérenniser la culture Pulaaku, les façons de vivres, nos coutumes. Je suis un fan de Tabital Pulaaku, parce que je vis un peu ce problème, j’ai vécu très longtemps hors de la Guinée, j ai eu des enfants qui sont nés hors du pays. Ils sont confrontés à une situation culturelle, ils ont une difficulté de se reconnaître dans une certaine culture ou bien de parler d’une certaine langue. Donc avec les efforts que tabital pulaku est entrain de faire aujourd’hui pour pérenniser la culture, pour l’enseigner, pour la digitalisé et la rapprocher des individus qui sont de cette culture Pulaaku ou les amis de pulaaku. Cela va leur permettre  de se reconnaître, ça c’est vraiment quelques chose qui est là pour nous assister pour permettre à ce que l’Afrique  ne perde pas ses valeurs et sa culture. » a indiqué  Thierno Yaya Diallo, président Tabital Pulaaku Guinée
Plus loin, il ajoute   « il faut d’abord commencé par la communauté, je suis entrain de faire une action d’humanisme, si vous voyez tout ses grands de ce monde, ils ont d’abord commencé à résoudre un problème communautaire avant de résoudre un problème national. Aujourd’hui nous vivons un problème communautaire parce qu’il y’a d’autre communauté avec nous. C’est vraiment l’environnement où nous sommes qui nous dicte ce  qu’on essaye de développer une certaine façon de faire qui va nous permettre de mieux vivre ensemble. » a-t-il fait savoir
Pour  finir , ce bureau est composé d’un président, cinq vice président, neuf conseillers spéciaux et vingt trois secrétariats.

Ousmane

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