Les militants Oumar Sylla, Ibrahima Diallo et Saïkou Yaya Barry ont été arrêtés par les autorités guinéennes le 30 juillet, pour avoir simplement exercé de manière pacifique leurs droits à la liberté d’expression et de réunion. Oumar Sylla et Ibrahima Diallo sont toujours détenus à la prison de Conakry, dans l’attente de leur procès, après avoir appelé à manifester le 28 juillet. Le 12 octobre, Saïkou Yaya Barry a été libéré et placé sous contrôle judiciaire afin d’être évacué vers Tunis car son état de santé s’était dégradé pendant sa détention.
Les militants Oumar Sylla, Ibrahima Diallo et Saïkou Yaya Barry ont été arrêtés par les autorités guinéennes le 30 juillet, pour avoir simplement exercé de manière pacifique leurs droits à la liberté d’expression et de réunion. Oumar Sylla et Ibrahima Diallo sont toujours détenus à la prison de Conakry, dans l’attente de leur procès, après avoir appelé à manifester le 28 juillet. Le 12 octobre, Saïkou Yaya Barry a été libéré et placé sous contrôle judiciaire afin d’être évacué vers Tunis car son état de santé s’était dégradé pendant sa détention.
Les militants Oumar Sylla, Ibrahima Diallo et Saïkou Yaya Barry ont été arrêtés par les autorités guinéennes le 30 juillet, pour avoir simplement exercé de manière pacifique leurs droits à la liberté d’expression et de réunion. Oumar Sylla et Ibrahima Diallo sont toujours détenus à la prison de Conakry, dans l’attente de leur procès, après avoir appelé à manifester le 28 juillet. Le 12 octobre, Saïkou Yaya Barry a été libéré et placé sous contrôle judiciaire afin d’être évacué vers Tunis car son état de santé s’était dégradé pendant sa détention.
Les militants Oumar Sylla, Ibrahima Diallo et Saïkou Yaya Barry ont été arrêtés par les autorités guinéennes le 30 juillet, pour avoir simplement exercé de manière pacifique leurs droits à la liberté d’expression et de réunion. Oumar Sylla et Ibrahima Diallo sont toujours détenus à la prison de Conakry, dans l’attente de leur procès, après avoir appelé à manifester le 28 juillet. Le 12 octobre, Saïkou Yaya Barry a été libéré et placé sous contrôle judiciaire afin d’être évacué vers Tunis car son état de santé s’était dégradé pendant sa détention.