Suite à la violence exercée sur des journalistes Lundi alors qu’ils manifestaient contre le blocage du site Guineematin , une pluie de condamnation dans la classe politique et de la société civile. C’est le cas du président de l’union des Forces Républicaines , Sidya Touré qui vit en exil en Côte d’Ivoire
« Nous nous sommes battus en 2005 pour faire de la liberté de la presse une réalité en Guinée. Il ne saurait avoir une véritable Démocratie sans une presse libre. La violence proférée, ce lundi, contre des journalistes suivie de l’arrestation de 14 d’entre eux, est un recul » a réagi Sidya Touré sur son compte Twitter devenu X il y a quelques semaines.
Les journalistes au nombre ont finalement été libérés et mis à la disposition de leur avocat, maître Salifou Beavogui.
Rama