La candidature de l’opposant Ousmane Sonko à la prochaine élection présidentielle a été remise en question vendredi au Sénégal. Comme le rapporte RFI, la Cour suprême du pays a confirmé ce 5 janvier la condamnation pour diffamation d’Ousmane Sonko, déjà emprisonné depuis fin juillet pour d’autres inculpations, dont appel à l’insurrection. Depuis deux ans, l’opposant est au cœur d’un bras de fer avec l’État, marqué par plusieurs épisodes de contestation et de violence meurtrière.
Cette décision de la Cour suprême rendue vendredi compromet la participation d’Ousmane Sonko à l’élection présidentielle, dont le premier tour est prévu le 25 février. Elle confirme sa condamnation en appel en mai 2023 à six mois de prison avec sursis et 200 millions de francs CFA (environ 300 000 euros) de dommages et intérêts. Il était poursuivi par le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang pour « diffamation, injures et faux » après l’avoir accusé d’avoir été épinglé dans un rapport de l’Inspection générale d’État pour des détournements présumés.
Ousmane Sonko dénonce des complots
De son côté, l’opposant politique dénonce des complots pour l’écarter du scrutin. Le 14 décembre dernier, un juge sénégalais avait pourtant relancé sa candidature compromise en ordonnant sa réinscription sur les listes électorales, confirmant une décision rendue en octobre par le tribunal de Ziguinchor (sud) qui avait été cassée par la Cour suprême à la mi-novembre.
Ce jugement avait remis dans la course l’opposant, qui avait été radié des listes après avoir été condamné à deux ans de prison en juin dans une affaire de mœurs, ce qui l’empêchait de déposer formellement sa candidature.
Le Point
La candidature de l’opposant Ousmane Sonko à la prochaine élection présidentielle a été remise en question vendredi au Sénégal. Comme le rapporte RFI, la Cour suprême du pays a confirmé ce 5 janvier la condamnation pour diffamation d’Ousmane Sonko, déjà emprisonné depuis fin juillet pour d’autres inculpations, dont appel à l’insurrection. Depuis deux ans, l’opposant est au cœur d’un bras de fer avec l’État, marqué par plusieurs épisodes de contestation et de violence meurtrière.
Cette décision de la Cour suprême rendue vendredi compromet la participation d’Ousmane Sonko à l’élection présidentielle, dont le premier tour est prévu le 25 février. Elle confirme sa condamnation en appel en mai 2023 à six mois de prison avec sursis et 200 millions de francs CFA (environ 300 000 euros) de dommages et intérêts. Il était poursuivi par le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang pour « diffamation, injures et faux » après l’avoir accusé d’avoir été épinglé dans un rapport de l’Inspection générale d’État pour des détournements présumés.
Ousmane Sonko dénonce des complots
De son côté, l’opposant politique dénonce des complots pour l’écarter du scrutin. Le 14 décembre dernier, un juge sénégalais avait pourtant relancé sa candidature compromise en ordonnant sa réinscription sur les listes électorales, confirmant une décision rendue en octobre par le tribunal de Ziguinchor (sud) qui avait été cassée par la Cour suprême à la mi-novembre.
Ce jugement avait remis dans la course l’opposant, qui avait été radié des listes après avoir été condamné à deux ans de prison en juin dans une affaire de mœurs, ce qui l’empêchait de déposer formellement sa candidature.
Le Point
La candidature de l’opposant Ousmane Sonko à la prochaine élection présidentielle a été remise en question vendredi au Sénégal. Comme le rapporte RFI, la Cour suprême du pays a confirmé ce 5 janvier la condamnation pour diffamation d’Ousmane Sonko, déjà emprisonné depuis fin juillet pour d’autres inculpations, dont appel à l’insurrection. Depuis deux ans, l’opposant est au cœur d’un bras de fer avec l’État, marqué par plusieurs épisodes de contestation et de violence meurtrière.
Cette décision de la Cour suprême rendue vendredi compromet la participation d’Ousmane Sonko à l’élection présidentielle, dont le premier tour est prévu le 25 février. Elle confirme sa condamnation en appel en mai 2023 à six mois de prison avec sursis et 200 millions de francs CFA (environ 300 000 euros) de dommages et intérêts. Il était poursuivi par le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang pour « diffamation, injures et faux » après l’avoir accusé d’avoir été épinglé dans un rapport de l’Inspection générale d’État pour des détournements présumés.
Ousmane Sonko dénonce des complots
De son côté, l’opposant politique dénonce des complots pour l’écarter du scrutin. Le 14 décembre dernier, un juge sénégalais avait pourtant relancé sa candidature compromise en ordonnant sa réinscription sur les listes électorales, confirmant une décision rendue en octobre par le tribunal de Ziguinchor (sud) qui avait été cassée par la Cour suprême à la mi-novembre.
Ce jugement avait remis dans la course l’opposant, qui avait été radié des listes après avoir été condamné à deux ans de prison en juin dans une affaire de mœurs, ce qui l’empêchait de déposer formellement sa candidature.
Le Point
La candidature de l’opposant Ousmane Sonko à la prochaine élection présidentielle a été remise en question vendredi au Sénégal. Comme le rapporte RFI, la Cour suprême du pays a confirmé ce 5 janvier la condamnation pour diffamation d’Ousmane Sonko, déjà emprisonné depuis fin juillet pour d’autres inculpations, dont appel à l’insurrection. Depuis deux ans, l’opposant est au cœur d’un bras de fer avec l’État, marqué par plusieurs épisodes de contestation et de violence meurtrière.
Cette décision de la Cour suprême rendue vendredi compromet la participation d’Ousmane Sonko à l’élection présidentielle, dont le premier tour est prévu le 25 février. Elle confirme sa condamnation en appel en mai 2023 à six mois de prison avec sursis et 200 millions de francs CFA (environ 300 000 euros) de dommages et intérêts. Il était poursuivi par le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang pour « diffamation, injures et faux » après l’avoir accusé d’avoir été épinglé dans un rapport de l’Inspection générale d’État pour des détournements présumés.
Ousmane Sonko dénonce des complots
De son côté, l’opposant politique dénonce des complots pour l’écarter du scrutin. Le 14 décembre dernier, un juge sénégalais avait pourtant relancé sa candidature compromise en ordonnant sa réinscription sur les listes électorales, confirmant une décision rendue en octobre par le tribunal de Ziguinchor (sud) qui avait été cassée par la Cour suprême à la mi-novembre.
Ce jugement avait remis dans la course l’opposant, qui avait été radié des listes après avoir été condamné à deux ans de prison en juin dans une affaire de mœurs, ce qui l’empêchait de déposer formellement sa candidature.
Le Point