Dubai, le 16 février 2024 – Avec la joie au cœur, le Premier ministre a présidé la cérémonie de clôture de la table ronde des bailleurs sur le Programme de Référence Intérimaire (PRI) 2022-2025, en présence des membres du gouvernement, des acteurs économiques, ainsi que du secteur privé.
Cet important rendez-vous avait pour objectif, mobiliser les ressources nécessaires pour combler le gap financier du PRI, qui s’élèverait à 4,3 milliards USD sur un total de 12 milliards USD.
Le Premier ministre, a mentionné lors de la Cérémonie de clôture que la table ronde de Dubai sur le financement du PRI 2022-2025 est un succès éclatant pour la Guinée : « Ce qui a été dit ici, et ce qui a été accordé ici à notre pays et à son gouvernement va au-delà de nos attentes. Sur un besoin de financement de 4,3 milliards de dollars pour combler le gap de financement du PRI, le Gouvernement a mobilisé auprès des bailleurs près de 7 milliards de dollars », a révélé Dr Bernard Goumou.
Il a ensuite rassuré que cette table ronde sur le financement du PRI représente un jalon crucial dans le parcours de la Guinée vers le développement et la prospérité. Car, dira-t-il, « la conclusion de cette table ronde marque le début d’un nouveau chapitre passionnant dans notre quête collective de progrès et de prospérité pour la République de Guinée. Une étape est franchie, mais le chemin est encore long ».
Adressant les sincères remerciements du Président de la République de Guinée, aux contributeurs bilatéraux, multilatéraux, ainsi qu’aux fonds Saoudien, Koweitien, D’Abu Dhabi et de l’OPEP, pour leur engagement envers la République de Guinée, Dr Bernard Goumou a mentionné que leur implication dynamique dans le PRI est essentielle pour stimuler l’innovation, créer des opportunités économiques et favoriser un développement inclusif pour tous les Guinéens.
« Madame la Ministre du Plan, vous venez de nous faire remporter une bataille décisive. Mais pour gagner la guerre, il y a une deuxième manche. C’est celle qui consiste à assurer la mise en œuvre des différentes conventions et un suivi rigoureux des décaissements », a-t-il conclu.