Foutanet.com
  • Login
  • Politique
  • Sports
  • Education
  • Faits de société
  • Justice
  • Echos des régions
  • Contact
No Result
View All Result
  • Politique
  • Sports
  • Education
  • Faits de société
  • Justice
  • Echos des régions
  • Contact
No Result
View All Result
Foutanet.com
No Result
View All Result

En Guinée, de la prison ferme requise contre le responsable d’un syndicat de presse

février 21, 2024
in Uncategorized
En Guinée, de la prison ferme requise contre le responsable d’un syndicat de presse

 

Le tribunal de Dixinn a requis six mois d’incarcération contre le syndicaliste, ainsi qu’une amende contre Sekou Jamal Pendessa, qui est lui secrétaire général du SPPG. Tous deux sont poursuivis en raison de leur engagement contre la censure des médias et des réseaux sociaux.

Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR
Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR

Une peine de six mois de prison ferme a été requise ce mardi 20 février par la justice guinéenne à l’encontre du responsable d’un syndicat de presse, détenu pour avoir appelé à manifester contre la censure de certains médias et d’internet. L’affaire a été mise en délibéré à vendredi.

En Guinée, la transition de Mamadi Doumbouya en plein bras de fer avec la presse

Le parquet du tribunal de Dixinn, dans la banlieue de Conakry, a également requis une amende de 500 000 francs guinéens (près de 60 euros) contre Sekou Jamal Pendessa, secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée (SPPG). Il avait été écroué fin janvier pour « participation à une manifestation non autorisée ». Le procureur, Biwon Milimouno, a demandé de le « retenir dans les liens de la culpabilité ». Sa défense a plaidé son innocence et demandé la liberté provisoire, refusée par le tribunal.

« Libérer les médias »

Sekou Jamal Pendessa avait été arrêté le 19 janvier par les gendarmes à sa sortie du tribunal. Il était allé y soutenir un certain nombre de ses confrères qui avaient été arrêtés la veille et ont depuis été relâchés. Le SPPG avait ensuite appelé à manifester « pour libérer les médias et réseaux sociaux », avec le soutien d’organisations de la société civile. Les autorités avaient prévenu qu’elles séviraient contre ce rassemblement, alors que toute manifestation est interdite depuis 2022 en Guinée.

Ces dernières semaines, l’accès à internet a été sévèrement restreint, des chaînes de télévision ont été retirées des principaux bouquets de distribution et des fréquences radio brouillées.

(avec AFP)

 

Le tribunal de Dixinn a requis six mois d’incarcération contre le syndicaliste, ainsi qu’une amende contre Sekou Jamal Pendessa, qui est lui secrétaire général du SPPG. Tous deux sont poursuivis en raison de leur engagement contre la censure des médias et des réseaux sociaux.

Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR
Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR

Une peine de six mois de prison ferme a été requise ce mardi 20 février par la justice guinéenne à l’encontre du responsable d’un syndicat de presse, détenu pour avoir appelé à manifester contre la censure de certains médias et d’internet. L’affaire a été mise en délibéré à vendredi.

En Guinée, la transition de Mamadi Doumbouya en plein bras de fer avec la presse

Le parquet du tribunal de Dixinn, dans la banlieue de Conakry, a également requis une amende de 500 000 francs guinéens (près de 60 euros) contre Sekou Jamal Pendessa, secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée (SPPG). Il avait été écroué fin janvier pour « participation à une manifestation non autorisée ». Le procureur, Biwon Milimouno, a demandé de le « retenir dans les liens de la culpabilité ». Sa défense a plaidé son innocence et demandé la liberté provisoire, refusée par le tribunal.

« Libérer les médias »

Sekou Jamal Pendessa avait été arrêté le 19 janvier par les gendarmes à sa sortie du tribunal. Il était allé y soutenir un certain nombre de ses confrères qui avaient été arrêtés la veille et ont depuis été relâchés. Le SPPG avait ensuite appelé à manifester « pour libérer les médias et réseaux sociaux », avec le soutien d’organisations de la société civile. Les autorités avaient prévenu qu’elles séviraient contre ce rassemblement, alors que toute manifestation est interdite depuis 2022 en Guinée.

Ces dernières semaines, l’accès à internet a été sévèrement restreint, des chaînes de télévision ont été retirées des principaux bouquets de distribution et des fréquences radio brouillées.

(avec AFP)

A lire aussiPosts

67e anniversaire de l’Armée guinéenne : Les Forces de Défense et de Sécurité réaffirment leur loyauté au Général Mamadi Doumbouya

Présidentielle en Guinée : Mamadi Doumbouya attendu à la Cour suprême pour le dépôt de sa candidature

novembre 3, 2025
Cellou Dalein Diallo plaide à la Sorbonne pour le retour de l’État de droit et la jeunesse africaine en détresse

Cellou Dalein Diallo sur la transhumance politique : « Ce ne sont pas des choix de conviction, mais des choix matériels »

octobre 16, 2025

Madagascar: qui est Michael Randrianirina, le nouvel homme fort du régime malgache?

octobre 15, 2025

 

Le tribunal de Dixinn a requis six mois d’incarcération contre le syndicaliste, ainsi qu’une amende contre Sekou Jamal Pendessa, qui est lui secrétaire général du SPPG. Tous deux sont poursuivis en raison de leur engagement contre la censure des médias et des réseaux sociaux.

Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR
Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR

Une peine de six mois de prison ferme a été requise ce mardi 20 février par la justice guinéenne à l’encontre du responsable d’un syndicat de presse, détenu pour avoir appelé à manifester contre la censure de certains médias et d’internet. L’affaire a été mise en délibéré à vendredi.

En Guinée, la transition de Mamadi Doumbouya en plein bras de fer avec la presse

Le parquet du tribunal de Dixinn, dans la banlieue de Conakry, a également requis une amende de 500 000 francs guinéens (près de 60 euros) contre Sekou Jamal Pendessa, secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée (SPPG). Il avait été écroué fin janvier pour « participation à une manifestation non autorisée ». Le procureur, Biwon Milimouno, a demandé de le « retenir dans les liens de la culpabilité ». Sa défense a plaidé son innocence et demandé la liberté provisoire, refusée par le tribunal.

« Libérer les médias »

Sekou Jamal Pendessa avait été arrêté le 19 janvier par les gendarmes à sa sortie du tribunal. Il était allé y soutenir un certain nombre de ses confrères qui avaient été arrêtés la veille et ont depuis été relâchés. Le SPPG avait ensuite appelé à manifester « pour libérer les médias et réseaux sociaux », avec le soutien d’organisations de la société civile. Les autorités avaient prévenu qu’elles séviraient contre ce rassemblement, alors que toute manifestation est interdite depuis 2022 en Guinée.

Ces dernières semaines, l’accès à internet a été sévèrement restreint, des chaînes de télévision ont été retirées des principaux bouquets de distribution et des fréquences radio brouillées.

(avec AFP)

 

Le tribunal de Dixinn a requis six mois d’incarcération contre le syndicaliste, ainsi qu’une amende contre Sekou Jamal Pendessa, qui est lui secrétaire général du SPPG. Tous deux sont poursuivis en raison de leur engagement contre la censure des médias et des réseaux sociaux.

Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR
Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée. © DR

Une peine de six mois de prison ferme a été requise ce mardi 20 février par la justice guinéenne à l’encontre du responsable d’un syndicat de presse, détenu pour avoir appelé à manifester contre la censure de certains médias et d’internet. L’affaire a été mise en délibéré à vendredi.

En Guinée, la transition de Mamadi Doumbouya en plein bras de fer avec la presse

Le parquet du tribunal de Dixinn, dans la banlieue de Conakry, a également requis une amende de 500 000 francs guinéens (près de 60 euros) contre Sekou Jamal Pendessa, secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse de Guinée (SPPG). Il avait été écroué fin janvier pour « participation à une manifestation non autorisée ». Le procureur, Biwon Milimouno, a demandé de le « retenir dans les liens de la culpabilité ». Sa défense a plaidé son innocence et demandé la liberté provisoire, refusée par le tribunal.

« Libérer les médias »

Sekou Jamal Pendessa avait été arrêté le 19 janvier par les gendarmes à sa sortie du tribunal. Il était allé y soutenir un certain nombre de ses confrères qui avaient été arrêtés la veille et ont depuis été relâchés. Le SPPG avait ensuite appelé à manifester « pour libérer les médias et réseaux sociaux », avec le soutien d’organisations de la société civile. Les autorités avaient prévenu qu’elles séviraient contre ce rassemblement, alors que toute manifestation est interdite depuis 2022 en Guinée.

Ces dernières semaines, l’accès à internet a été sévèrement restreint, des chaînes de télévision ont été retirées des principaux bouquets de distribution et des fréquences radio brouillées.

(avec AFP)

Tags: Sekou Jamal PendessaTribunal Dixinn
ShareTweetShare
Previous Post

CONAKRY/SOCIÉTÉ : FATOUMATA BINTA BARRY, UNE ENTREPRENEUSE MALGRÉ SON HANDICAP

Next Post

Guinée : après la dissolution du gouvernement, quel avenir pour la transition ?

Next Post
𝗢𝗯𝘀𝗲𝗾𝘂𝗲𝘀 : 𝗹𝗲 𝗖𝗵𝗲𝗳 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝘁𝗮𝘁 𝗿𝗲𝗻𝗱 𝘂𝗻 𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲𝗿 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗮𝗴𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝘃𝗶𝗰𝘁𝗶𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝗰𝗲𝗻𝗱𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗞𝗮𝗹𝗼𝘂𝗺

Guinée : après la dissolution du gouvernement, quel avenir pour la transition ?

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

© foutanet.com, tous droits réservés

No Result
View All Result
  • Politique
  • Sports
  • Education
  • Faits de société
  • Justice
  • Echos des régions
  • Contact

© foutanet.com, tous droits réservés

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In